Le combat pour le respect de la liberté de presse est loin d’être gagné dans le monde. Pour l’année 2018, 250 journalistes ont été jetés en prison, un peu partou à travers le monde, dans le cadre de l’exercice de leur métier. Beaucoup moins chanceux, 58 autres confrères ont été lâchement assassinés au cours de l’année écoulée.
Selon L’As qui ébruite cette mauvaise nouvelle, c’est l’organisation non gouvernementale américaine «Comity to protect journalist» qui a donné l’information dans son rapport annuel qui sera rendu public le 11 décembre. C’est dire qu’il ne peut y avoir de presse libre quand les journalistes travaillent dans un environnement de peur.