Cité comme étant au cœur d’un intense trafic de quittances au niveau de la Société sénégalaise du droit d’auteur et droits voisins (Sodav), Ibrahima Diagne crie à la conspiration et bat en brèche les accusations à son encontre.

L’agent de la Sodav, avec le dessein de se laver à grande eau, affirme qu’aucune personne ne saurait brandir une preuve matérielle l’impliquant dans un réseau de faussaires.

Et ce, pour la bonne et simple raison que la Sodav est une institution usant de procédures rigides ne tolérant aucune irrégularité surtout dans la gestion des quittances».

Ibrahima Diagne s’étonne des accusations selon lesquelles des agents véreux qu’il chapeaute ont perçu de grosses sommes d’argent en encaissant, grâce à de fausses quittances de recouvrement, des redevances qui devraient aller dans les comptes de la Société sénégalaise du droit d’auteur et droits voisins.

Pour se dédouaner d’une intrigue visant à jeter le discrédit sur la Sodav et sur sa personne, il dit se réserver le droit d’user de toutes les voies de droit en sa possession pour préserver son honneur, sa dignité et sa réputation, ainsi que celle de la Sodav».